On veut revoir la cité, Viens nous voir a la cité
Neuilly sa mère On devrait voir la cité, Neuilly sa mère, Viens nous voir a la cité
Faf Larage:
Ma mère m'a envoyé dans un ghetto doré
Moi qui viens de ma cité Neuilly sa mère j'étais pas prêt
Je m'appelle Samy, dans ma classe assis
A coté d'une Sophie, d'un Edouard et Charles-Henri
Ici tous les 4x4 sont gris
Les voyous ont des psys et les kebabs ont du style
(Mon fils écoute Neuilly c'est la chance de ta vie)
Mais ma cité me manques
(Tu pourrais finir ministre)
Mes potes, mon bloc et mes tantes
(Si il y a du ralouff beh tu manges que les frites)
(Ah non mais la c'est abusé)
(Nardine tu fais ce que je t'ai dit!)
Neuilly sa mère On veut revoir la cité, Neuilly sa mère, Viens nous voir a la cité
Faf Larage:
Ils sont jeunes, beaux et riches
Des têtes à prendre au pied de biche
Rap comme des quiches
(Écoute le style, Rolex ouais déchire)
Ça me manques les potos
Quand on trainait dans les tours
Chouf les Pitbull élevait au Red Bull
Les fachos en caleçon
Les mamas au balcon
Les grands frères au faux Vuitton
Et les profs en dépression
Qu'est que tu dis là?
On est tous frères (Ouais c'est vrai)
Les sentiments, les problèmes sont les mêmes (Il a raison)
Qu'est que tu dis là?
Tu es mon frère.... (Khader j'te Kiffe)
Neuilly Nanterre c'est la même
Neuilly sa mère On veut revoir la cité, Neuilly sa mère, Viens nous voir a la cité
L'important c'est pas de bouger
Mais plutôt où je vais
Partout il y a du bon et du mauvais
Faf Larage:
On est pas tout des racailles
Ils sont pas tous des blindés
C'est compliqué mais il faut avancer
Faf Larage:
Chez eux ils font des rallyes
Chez nous ça conduit sans permis
Pour eux, y a la fashion week
Pour nous ça défile au Quick
Alors emmène le Pommery
On remmène la famille
Teddy et Zinedine
Alors la France là on est quitte
On veut revoir la cité,
Viens nous voir a la cité.
Trop d’images, trop de remords,
Quand la pensée est la plus forte,
Comme il est dur de partager sa souffrance.
Tous ces doutes, tout ce passé,
Que tu n’as pas pu soulager,
Ils sont si lourds,
Bien trop lourds, à quitter.
(pre refrain)
J’aurais voulu que tu me portes,
Que tu m’aides à être plus forte,
Mais tu ne savais rien,
Je ne pouvais rien expliquer,
Pas même te faire deviner,
Ces mots qui sont miens.
(refrain)
Alors je m’envolais, m’envolais,
Dans des songes et des rêves,
Et je m’envolais, m’envolais en rêve.
Il nous faudra encore du temps,
Il te faudra être patiente,
Mais j’ai bien peur que tu t’essouffles de moi.
Si les mots ne venaient pas,
Me libérer de cet état,
Je me tournais encore et toujours vers toi.
(pre refrain + refrain)
En rêve, en rêve, en rêve.
(refrain x2)
En rêve
Quand la pensée est la plus forte,
Comme il est dur de partager sa souffrance.
Tous ces doutes, tout ce passé,
Que tu n’as pas pu soulager,
Ils sont si lourds,
Bien trop lourds, à quitter.
(pre refrain)
J’aurais voulu que tu me portes,
Que tu m’aides à être plus forte,
Mais tu ne savais rien,
Je ne pouvais rien expliquer,
Pas même te faire deviner,
Ces mots qui sont miens.
(refrain)
Alors je m’envolais, m’envolais,
Dans des songes et des rêves,
Et je m’envolais, m’envolais en rêve.
Il nous faudra encore du temps,
Il te faudra être patiente,
Mais j’ai bien peur que tu t’essouffles de moi.
Si les mots ne venaient pas,
Me libérer de cet état,
Je me tournais encore et toujours vers toi.
(pre refrain + refrain)
En rêve, en rêve, en rêve.
(refrain x2)
En rêve